La Petite Voix Petite branche
Nombre de messages : 4 Age : 30 Date d'inscription : 21/08/2008
| Sujet: LPV demande un test Jeu 21 Aoû - 22:04 | |
| Bonsoir,
Pseudo : Il est inscrit à gauche, champ un peu inutile, non ? Depuis combien de temps faites-vous du rp ? 1 an Écrivez-vous souvent des rp avec d'autres joueurs ? Oui =) Estimation de votre niveau d'écriture : Eh bien, nous sommes là pour ça, non ? Montrez-nous 2 textes de situations, personnages et lieux différents : La premier se trouve dans un restaurant, enfin vous comprendrez =) Début de message.- Spoiler:
Eh bien, c'est ce qu'on pouvait appeller la canicule dans les rues de New York. Entre la polution, la chaleur dégagée par le soleil et ce monde omniprésent dans chaque rue de la ville, la température était à son apogée. James le voyait bien au volant de sa voiture, le termomètre intégré de son auto ne fonctionnait plus tellement il faisait chaud. Période de vacances scolaires, et alors là c'était la folie. Les vacanciers venus du monde entiers souhaitaient visiter la belle ville de New York, les gens au travail s'affairaient dans chaque recoin de la ville et ceux qui ne travaillaient pas, étaient tout excités. Qu'elle ville, qu'elle vie ! En plus, Nicolas avait le loisir de tomber dans des bouchons ce qui n'arrangea pas son malêtre. Même avec les fenêtres ouvertes et la climatisation à fond pour déployer de l'air froid dans l'habitacle, cela ne marchait pas. C'est pourquoi il suait sur le front à grosses goutes. Il se dit qu'il avait de la chance de ne pas travailler sur un chantier en construction et d'être au frais dans son bureau. Le problème étant qu'il avait dû sortir de celui-ci pour se rendre dans un restaurant qui était approvisionné que par les lignes de magasins qui lui appartenait. Eh oui, le restaurant avait subit une intoxication alimentaire, et il se devait de régler le problème au plus vite avant que les gens ne fuient ses centres commerciaux. Dans cette intoxication, il n'y avait eut aucun mort, encore heureux mais il avait quand même eût des dégâts et des soins donc quelqu'un devait payer la note. Seulement Nicolas et sa chaîne de magasin n'était pas responsable de cette intoxication puisque les produits qu'ils vendaient, comme tout magasin ou presque, n'étaient pas des produits qu'ils avaient fabriqués eux-mêmes. Il devait donc se rendre sur place et voir les scientifiques qui avaient déterminés la cause de l'intoxication alimentaire de ce restaurant chinois.
La circulation commença à devenir plus fluide et il put redémarrer sa voiture et il se dirigea en direction du parking arrière du restaurant. Ce restaurant était en plus l'un des plus réputés de la ville ce qui ne faisait pas arranger les choses. Les scientifiques avaient déjà déterminés que la cause de l'accident de provenait pas du bar qui était juste à ôté du restaurant, juste relié par une petite porte que l'in retrouve dans les western. Ils avaient donc décidé de se porter sur la cuisine et là, ils avaient apparement trouvé ce qu'ils cherchaient. Mais comment savoir lequel des composants des plats ou des condiments avaient été la source de l'intoxication de plusieurs tables du restaurant. Une vingtaine de personnes avaient été contaminé par les produits. Apparement, la date de péremption était encore bonne donc cela provenait surement de la qualité du produit. Il rengea sa voiture dans une case, ferma les fenêtres à moitié et descendit. L'arrière du restaurant avait l'air très entretenu pas comme nombre de restaurants qui avaient à l'arrière des poubelles regorgeants et des flaques d'eaux partout. Là, comme ils avaient mis le parking à l'arrière, ils se devaient d'entretenir cette partie pour que le restaurant attire les foules. Il longea le mur d'enceinte et arriva à la porte d'entrée. Là, se trouvaient pendus deux boules de fêtes chinoises où, dans les temps anciens, étaient disposées à l'intérieur des bougies pour les fêtes et le nouvel an chinois.
Il passa la porte, un comis vint le saluer et lui proposer le bar puisque le restaurant était actuellement fermé pour causes personnelles. Il se présenta et informa le comis de ce qu'il venait faire dans le restaurant. Le comis présenta donc ses excuses pour cette malentente et le conduisit en cuisine où se trouvaient des scientifiques et le responsable du restaurant. Tout se déroula sans encombre pendant une heure puisque les scientifiques avaient trouvé d'où provenait l'intoxication. D'un des condiments fournis au restaurant mais ceux-ci n'étaient pas commercialisés par le centre commercial de Nicolas. C'était un produit fait par le restaurant dans les sous-sols avec une ancienne recette chinoise. Le problème étant que l'un des composants du condiment avec un autre ne faisaient pas bon ménage. Le responsable s'excusa donc auprès de Nicolas pour lui avoir fait perdre son temps et Nicolas se retira. Il avait perdu du temps, c'était vrai mais temps qu'il était là, autant qu'il aille au bar du restaurant pour se rafraîchir avant de reprendre la route vers l'Institut puisqu'il était aussi professeur à l'Institut mais gardait sa chaîne commerciale en vue.
Il rentra dans le bar après avoir passé les battants et ne vit personne, où presque. Sur sa droite se tenaient deux personnes, un homme et une femme qui buvaient un coup et sur la table se trouvait un coffret avec, certainement, la bague que la femme avait au doigt. Et au fond du bar se tenait une femme qui buvait tranquillement une boisson. Il s'approcha donc du bar, se mit sur un tabouret et demanda au barman un scotch, cela lui remonterait le moral qui avait baissé à cause de cette intoxication.
- Spoiler:
Texte 2, c'est le deuxième message, donc réponse à un autre personnage : James, après être parti de la rue commerçante, avait eu idée d'aller retrouver sa voiture et de sortir de la ville. Quelques kilomètres plus loins, se trouvait une petite colline qui surplombait la ville de New York. Beaucoup disaient que c'était un endroit romantique, juste pour les couples et tout mais lui n'en pensait pas plus. Il trouvait cet endroit très beau, le soir, l'on pouvait voir les milliers de lampadaires éclairer la ville. Il y allait souvent pour réfléchir à tout ce qui s'était passé durant les journées qu'il avait passé. En règle générale, lorsqu'il y allait, c'est qu'il avait quelque chose en lui qui le tracassait. Là, c'était cette aide qu'il avait proposé à Matthew Lewis. Il n'avait pas réfléchit sur le coup que celui-ci pourrait être dangeureux pour lui. Mais en y repensant un peu plus, il avait remarquer que lui ne perdrait rien, il apprendrait tout au temps que Matthew. Il était dangeureux pour lui-même mais également pour la ville de New York et les gens qui l'entouraient. Lorsque l'on voit déjà le combat final et sa fin plutôt ... tragique.
James avait toujours voulu offrir son aide à tous ceux qu'il voyait démuni ou avec des problèmes qu'il était à même de régler, ou enfin ..., d'atténuer. Là, avec Matthew, non pas qu'il était démuni mais plutôt qu'il avait un sérieux problème. La situation pouvait être représenté comme une simple mais représentative métaphore. C'était un peu comme si Matthew avait un pistolet sur la tempe, un moindre faux pas, un moindre geste incorrect et c'était la fin des cacahuètes. Impressionant comment leurs chemins s'étaient croisés. Au hasard d'un magasin, enfin, un pur hasard puisqu'ils s'étaient rentrés dedans sans réellement se connaitre mais un lien secret s'était tissé entre les deux jeunes hommes. James avait connu un moment similaire à celui-ci mais maintenant, il trouvait vraiment dommage que cette rencontre se soit faite comme celle-ci puisqu'ils étaient tous deux à la Confrérie... Encore cette maudite Confrérie que James refoulait par dessus tout. Mais là n'était plus le moment de parler de cela. Il devait dormir pour être d'aplomb pour le lendemain si Matthew venait à son rendez-vous.
Le lendemain, il vit l'heure et rentra en ville, ayant couché dans sa voiture, puis alla s'acheter quelques beignets et une boisson pour faire son déjeuner. Puis il parressa dans les rues de New York au hasard des rues. La ville était constammment chargée et bondée de monde. Déjà qu'en période normale elle l'était mais quand on passait en période estivale, fallait même plus y penser. On aurait pu croire que la population mondiale gagnait les Etats-Unis et New York. Les passages étaient plus durs et comme chaque fois entre huit heures et dix heures, les rues étaient archies pleines de mondes se rendant au boulot ou les autres en partant pour les entreprises qui faisaient des trois huit ou encore les personnes qui travaillaient la nuit. Passé ce cap, c'était plus fluide dans les rues. James attendit donc un petit moment sur une terrasse et enfourcha sa voiture pour se rendre au rendez vous. C'était près de l'immeuble où il "habitait", enfin plutôt logeait en dehors de la Confrérie et de sa voiture. Derrières l'immeuble, il y avait un terrain desaffecté où se trouvait déjà Matthew. Celui-ci semblait penseur sans trop de crispations. Puis en arrivant James fit du bruit ce qui éveilla ses sens mais il s'aperçut bien vite que c'était lui.
Quand Matthew lui dit qu'il n'était jamais venu ici, James voulut bien le croire. Rares étaient les personnes qui passaient par ici. Les gens maudissaient un peu ce coin puisqu'ici avait eu lieu des événements tragiques pour les gens du quartier mais passé ces faits, les immeubles s'étaient désemplies. Maintenant, James pouvait choisir son appartement avec le loyer qu'il voulait. Matthew lui dit aussi que c'était beau. Oui on pouvait dire cela comme ça. Les immeubles étaient tout rapiessés et la terrain derrière plus sale encore que les immeubles puisqu'il n'avait pas était entretenu. La forêt longeait les immeubles sur le côté avec un petit sentier qui menait un accès direct au parc à quelques centaines de mètres. Mais la question suivante fut très étrange pour James. Il était vrai qu'il s'était posé cette question mais que Matthew lui la pose, c'était peut être normale.
"- Je peux te poser une question ? Pourquoi m’aider ? La plus part des gens évitent de me côtoyer, alors pourquoi ?" "- Oui, il est vrai que moi-même je me suis posé la question mais je pense que si personne ne t'aide, tu cours à la catastrophe, et cela sera genant pour tout le monde. Si la plupart des gens refusent, pourquoi quelqu'un ne te tendrait pas la main pour te faire accepter tes dons ?"
| |
|
Ecumea Fondatrice
Nombre de messages : 118 Age : 31 Date d'inscription : 04/05/2008
| Sujet: Re: LPV demande un test Ven 22 Aoû - 18:22 | |
| Coucou LPV ! =)
Voici ton test, tu as deux semaines pour le faire :
Sujet : Créer un récit qui pourrait être une suite d'un autre, en quelques paragraphes. Tu dois faire resortir certains éléments qui décrivent : le lieu, la situation et les autres personnages du récit. Aide-toi des diverses figures de styles existantes, cela pourra t'être utile pour éviter les répétitions. Thème : Libre (comme tu le souhaites ^^) Point de vue : omniscient. Nombres de lignes minimum d'un paragraphe : 5. Les personnages : tous les personnages qui y seront doivent être différents les uns des autres. Contraintes principales : éviter les répétitions et les fautes de grammaire. Il faut que l'on comprenne le thème que tu as choisi.
Une fois que tu auras terminé, les responsables et moi jugerons ton travail. Si tu as une question, n'hésites pas.
Ecumea | |
|